DECEMBER 2020 — MAINE SERIES
New watercolor paintings
About the series
I have been working on a series of watercolors inspired by Acadia National Park: a suite of 10 paintings on paper, 30 x 22 in., based on memories and printed photographs I developed upon return from my trip to Mount Desert Island, Maine in the Summer 2020. I was staying near Northeast Harbor, where French writer Marguerite Yourcenar had lived and written, in her house named Petite Plaisance.
The series aim to maintain a form of abstraction. The palette features natural tones of blues, dark greens, rich browns and ocres. Repetitive strokes of overlapping colors are used to depict the trees and foliage, and puddles of mixed hues create faded water streams. In each work the depth of field is challenged to reflect both upon the majesty of the National Park, while holding a sense of intimacy and proximity. In these watercolors, the initial memory of the landscape tends to gradually disappear to give way to new impressions of nature which lie at the frontier of representation and perception.
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NOVEMBER 20, 2020 — VIDEO
Femmes d’Art
@FemmesdArt invited me to present my series “Halcyon” as per of her series “UNE ARTISTE / UNE OEUVRE”
Halcyon, 2019
watercolour, crayons, oil on paper
suite of 12
35 x 27 cm each ; 13 3/4 x 10 3/4 in. each
SEPTEMBER 9-13, 2020 — BENEFIT AUCTION
The Orchid Foundation, created by Nichole Galicia
Vu Galleries presents "100 Artists For The Orchid Foundation" to create a college scholarship fund for the girls at @TheOrchidFdn.
AUGUST 2020 — MARSEILLE
Pièce-A-Part, curated by Emmanuelle Oddo
JUly 2020 — SUBSCRIBE TO NEWSLETTER
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MAY-JUNE 2020 — Walk around the studio
NEW YORK
J’ai eu mon premier atelier en 2012 au sein de la School of Visual Arts dans le quartier de Chelsea à New York, alors en échange étudiant dans leur section Fine Arts. Il est très petit mais j’y ressens toute l’énergie de New York. A l’automne, Hurricane Sandy frappe la ville et le quartier de Red Hook est submergé. Alors que la ligne d’inondation est encore visible au rez-de-chaussée, je crée la performance Commonplaces à Pioneer Works avec des performers françaises, japonaises, allemandes, italiennes, suisses, répétant des gestes du quotidien entourées de projections vidéo.En 2013, je passe un semestre à Berlin dans le studio transdisciplinaire de l’artiste Jeppe Hein. Il m’invite à faire mon premier solo show dans son atelier. Je présente une série de peintures où la nature envahit l’architecture et immerge un néon Closer dans un aquarium rempli d’eau de la Spree. Tout juste diplômée de l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, je retourne à New York en 2014. Je rencontre par hasard un artiste dont j’admire la pratique protéiforme, Gabriel Orozco. Je l’aide à trouver un atelier, cette fois-ci immense, près de West Village. Il me laisse les clés quand il voyage. Je puise mon inspiration dans la rue en regardant les devantures de fenêtres. Je rapporte des stores de Chinatown, et investis totalement l’espace en son absence.En 2016, j’habite alors près de Bowery et transforme le salon en un espace de création intermittent. J’invente une série de jardins in situintitulés Home grown gardens, constitués d’un assemblage de matériaux trouvés et de matières cheap qui passent souvent inaperçues. En parallèle de mes projets personnels, je travaille avec Orozco à Mexico, Cuba, Bali, et m’initie à la feuille d’or et à la taille de pierre. Je reviens toujours à Paris, où j’expose davantage. Je crée directement dans les espaces d’exposition, sans attache ni atelier.En 2018, j’obtiens mon visa d’artiste et retourne à New York. Painting Space 122 dans l’East Village me propose un studio. La taille de l’espace est inespérée. Je ne pense l’avoir que pour six mois. Un an et demi plus tard, je suis toujours là. Le sol se couvre de polycarbonates, de bâches plastiques, et de portes de Deli récupérées au coin de 9th Street et First Avenue.Je travaille la nuit et cela me procure un sentiment de liberté infinie. La solitude est un luxe dans une ville où les sollicitations sont permanentes. Visites d’atelier, open studios, work in progress, je me nourris de rencontres et d’échanges d’idées.2020, stay-at-home order, je suis en confinement à Greenwich Village. Pinceaux, câbles d’ordinateur, et tasses vides se chevauchent. La table à manger devient table de dessin et support de Visio conférence all in one. Aujourd’hui les manifestations se multiplient et les revendications résonnent entre Broadway, Washington Square Park et 6th Avenue. Mon atelier à PS122 redevient lieu d’expérimentation. L’action de donner, de recevoir, qui est propre à l’œuvre d’art, m’inspire pour créer des œuvres nouvelles empreintes d’hospitalité et portant en elles les qualités d’un espace à habiter.
Sophie KitchingJUNE 2020 — STUDIO
PS122, East Village, New York
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JUNE 20, 2020 — GROUP SHOW
GALERIE ISABELLE GOUNOD
Les Analogues
curated by Thibault Bissirier
06.20.20 - 07.18.20
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JUNE 13, 2020 — EXHIBITION
GALERIE ISABELLE GOUNOD | STUDIO
NEW & SELECTED WORKS
06.13.20 - 07.18.20
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May 2020 — PRESS
Yellow Over Purple
Les artistes coups de coeur de Marianne
Interview en Quatre Questions
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Acte II – Marais, 2017
Impression sur toile 9 x 16 mètres – Vue du montage, décor Don Quichotte, Théâtre du Capitole, Toulouse, 2017
May 2020 — ART FAIR
DRAWING NOW Notebooks
Les cahiers Drawing Now Art Fair 2020
Galerie Isabelle Gounod
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APRIL 2020 — FEATURE
THE SOCIALITE FAMILY
Consigned by Pièce-A-Part
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Langage des Fleurs I, II, III (2018)
Langage des Fleurs I (2018)
MARCH 2020 – ART FAIR
DRAWING NOW
Galerie Isabelle Gounod, Booth C-15
Carolyn Carlson, Sophie Kitching, and Leslie Smith III
Press Release
Pour la 14ème édition du salon de dessin contemporain Drawing Now Art Fair, la Galerie Isabelle Gounod est particulièrement heureuse de collaborer avec Carolyn Carlson, danseuse et chorégraphe franco- américaine, dont un ensemble inédit d’œuvres à l’encre sur papier mêlant calligraphie et textes sera présenté aux côtés des travaux de Sophie Kitching (UK/FR) et Leslie Smith III (USA).
Issus de générations et d’aires géographiques différentes, les trois artistes ainsi rassemblés partagent le même rapport affectif et sensible à l’abstraction, dont ils brouillent les limites en y apportant une dimension humaniste et poétique particulière.
La pratique du dessin s’impose comme source de méditation et de création poétique pour Carolyn Carlson, comme un médium propre à recomposer des paysages flottants et colorés chez Sophie Kitching ou à traduire en formes les attractions qui régissent les relations humaines pour Leslie Smith III. La maîtrise de la ligne et du geste (tantôt spontané, tantôt plus réfléchi) offre ainsi à chacun d’entre eux un moyen de poursuivre ou d’initier l’ensemble de leurpratique artistique (qu’il s’agisse de la danse, de l’installation ou de la peinture), marquée, pour ces trois artistes, par une attention particulière portée à leur environnement, à son appropriation ainsi qu’une certaine manière épurée d’en retranscrire les forces et les formes dans l’espace.
MARCH 2020 — PRESS
ALURING*
Article by Clément Sauvoy
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