SOL LEWITT STUDIO
CHESTER, CONNECTICUT
December 12, 2021
Special visit of Sol LeWitt’s house and studio in Connecticut, thanks to Sofia LeWitt, Carol LeWitt and Bruce Josephy.
”The idea becomes a machine that makes the art.”
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ARTCURIAL BENEFIT AUCTION
Vente au profit de l’association ÉCOLES DU MONDE
November 17, 2021
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STUDIO VISIT
PS122 EAST VILLAGE
October 31, 2021
150 First Avenue, Studio 3-10
New York, NY 10009
Photos by Migle Staniskyte
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See All photos through this link: https://stmigle.passgallery.com/-studiovisitwithsophiekitching/gallery
ARTISTS FOR THE ORCHID FOUNDATION
BENEFIT AUCTION VIA VU GALLERIES
October 10, 2021
The Orchid Foundation, founded by Nichole Galicia, is a mentorship and scholarship program for underserved girls. The program supports girls who are excelling in their academic and extracurricular pursuits to help fill the resource gap presented by their socioeconomic backgrounds, and mentor them to and through college. The Foundation touches the lives of the “Orchids” with personal care, educational support and a broad-minded view of the world with designs to foster leaders for tomorrow. These “Orchids” are 14-22 year old powerhouses who deserve the opportunities and success they are working so hard to attain.Over 40 artists have donated to the Benefit Auction to show their support.
MASK OF ART
EN SOUTIEN AUX RESTOS DU COEUR
September 21, 2021
Special Limited Edition Mask Collection with Mask of Art
With Arlette KOTCHOUNIAN, Aymeric ZANA, Johan CRETEN, Junko SHIMADA, Laurent FIEVET, Maryam ALAKBARLI, Odonchimeg DAVAADORJ, Sahar ZUCKERMAN, Serge POLIAKOFF, Sophie KITCHING
MIRROR & STONES, 2016
SUITE OF 9
Through September 10, 2022
On view in the Avenue Gallery, Park Hyatt New York
Curated by Samuels Creative & Co.
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INVISIBLE GREEN IX, 2021
THE LIVING ROOM AT THE Park Hyatt NY
June 23, 2021 - May 23, 2022
Curated by Samuels Creative & Co.
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DRAWING NOW DART FAIR
GALERIE Isabelle Gounod, Paris
June 10-13, 2021
With Carolyn Carlson, Sophie Kitching, Jérémy Liron, Lenny Rébéré, Leslie Smith III
Booth A3
DRAWING NOW ALTERNATIVE
42 rue du Faubourg Saint-Antoine
75012 Paris
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CARTE BLANCHE, 2021
THE AVENUE GALLERY AT THE Park Hyatt NY
June 3, 2021 - September 10, 2022
Curated by Samuels Creative & Co.
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CARTE BLANCHE
Park Hyatt New York
June 3 - September 10, 2021
Curated by Samuels Creative & Co.
A keen observer of her environment, French-British artist Sophie Kitching creates installations, paintings, and sculptures that offer condensed versions of naturalistic phenomena and experiences. In her new and recent paintings on iridescent mylar and two-way mirror, the artist furthers her ongoing experimentation with surface material, light, and precise compositional imbalance.
Curated by Samuels Creative & Co. in collaboration with the artist, carte blanche offers a chromatic walk through the fifteen vitrines of the Avenue Gallery. These works on paper and polycarbonate panels use gestural mark-making to create an ambiguous sense of depth. Passersby might perceive a familiar reflection or recall a distant memory. At each stop, Kitching presents us with fragments of a landscape held in a vertical grid, a ray of light captured on a changing surface.
'“SUPERFICIEL” GROUP SHOW
Galerie Mansart , PARIS
April 21 - June 20, 2021
5 rue Payenne, 75003 Paris
Curated by Camille Frasca & Antoine Py
With Bianca Argimon, Pierre Bendine-Boucar, Damien Caccia, Boris Chouvellon, Harald Fernagu, Pablo Grand Mourcel, Sophie Kitching, Emilie Brout & Maxime Marion, Arsene Prat, Frank Perrin, Shuck One, Martin Rahin, Mathieu Roquigny, Florent Testa, Stéphane Triandé, Anne-Laure Wuillai
Du sens sans profondeur
Ce qui garantit que quelque chose fasse sens, ait du sens, ou prenne sens, ce n’est pas sa participation à une profondeur. L’ouvrage de Lewis Carroll, Alice au pays des Merveilles, est l’illustration de ce sens sans profondeur : après être tombée dans un trou et avoir suivi un lapin, changé de taille et participé à plusieurs rencontres sans queue ni tête, l'héroïne remonte à la surface et nous nous ne sommes pas plus avancés qu’au début de l’ouvrage, sur le sens à donner à l’épopée. C’est ce qui est fascinant. Nous avons vécu l’aventure ou plutôt la multitude d’aventures à ses côtés, nous avons cru y déceler parfois, si ce n’est une morale, du moins une leçon ; nous avons essayé de saisir le sens de certaines paroles ; nous avons identifié des logiques et des illogismes ; et pourtant, une fois remonté dans le champ de marguerites, tout est toujours aussi flou que lorsque nous lisions le premier chapitre. Lewis Carroll a réalisé une opération de renversement où le profond devient superficiel.
Délaisser la résolution des problèmes pour mieux s’en détacher, revêtir une armure pour ne plus se laisser atteindre, serait-ce une solution pour vivre plus simplement heureux ? Pourquoi poser des questions existentielles, quand on peut vivre dans un instant présent évident ? Les questions laissées en suspens par Alice, et par d’autres héroïnes littéraires, à l’instar d’Emma Bovary ou de Jeanne du roman Une vie de Guy de Maupassant, permettent de s’arrêter sur la matière enveloppante de la réalité.
L’exposition se concentre sur la première idée que l’on peut se faire d’une oeuvre. Le premier regard, celui qui nous séduit, nous attire. Cet aperçu pénètre en nous : c’est la phase d'incubation de l'œuvre et c’est à ce moment-là que la superficialité se développe en nous et met en branle le système de représentation que l’on se fait de la beauté. C’est beau, mais il y a quelque chose que je ne comprends pas, quelque chose que je ne capte pas entièrement, qui me dérange même, et provoque parfois une question : l’écran de télévision brisé de Damien Caccia nous renvoie à une image dévoyée, en sursaut, sans définition. L’envie d’aller explorer l’envers de l'œuvre nous prend. Elle répond au portrait “Hyacinthe”, réalisé à partir de colle traitée à la javel, matière abîmée par les agissements en surface de l’artiste. Cette distorsion de l’image, Arsène Prat l’opère également mais à une autre échelle, celle de l’installation, composant un décor à la manière d’un diorama où tout n’est que surface de projections, nous emmenant vers des lieux numériques infinis, autant de paysages virtuels à l’allure cinématographique. Le tondo de Mathieu Roquigny réalisé avec du papier WC pigmenté nous surprend : c’est si beau et c’est réalisé avec un truc aussi trivial ? On s'arrête à la surface et c’est tant mieux, parce que ça nous fait un peu réfléchir. Et cette proposition un peu punk nous emmène vers une contemplation simple, juste après la surprise de la matière : une émotion, une réaction, un étonnement et de nouveau, la beauté.
Superficiel politique
Chez Frank Perrin, une atteinte de la surface des images nous est proposée. L’artiste perce la matière de façon aléatoire mais maîtrisée, pied de nez à l’esthétique générale de notre société capitaliste. C’est notamment chez Nietzsche qu’on entrevoit ce genre d’attitudes, “comme dans un rêve, le moyen de fouler la terre, de l’effleurer, de danser et de ramener à la surface ce qui restait des monstres du fond et des figures du ciel.”
Le totem mystico footballistique de Pablo Grand Mourcel évoque forcément une iconographie connue et s’ancre dans notre rétine, en tant que la version pop d’une célébration sportive. Ses emblèmes proposent également une iconographie syncrétique, où se mêlent références mythologiques latines, orientales et extra-orientales, traitées de façon désacralisée. Plus loin, la forme inquiétante d’une cagoule à terre de Pierre Bendine Boucar et sa mise en scène photographique dramatisée nous mettent face à un constat : si l’on fait tomber le masque, que reste-t-il ? Y-a-t’il vraiment de la matière sous la surface ? Quelles sont nos attitudes superficielles ? Nous effleurons tous notre téléphone et oublions notre quotidien pour plonger dans les feeds Instagram de personnes que l’on ne connaît pas ou peu. Il s’agit là d’une action qui nous fait oublier le temps, et nous laissons ces fragments de vie défiler sous nos yeux, avec parfois un arrêt sur image : Emilie Brout et Maxime Marion capturent ce que notre pouce pourrait liker et jouent avec nos représentations en peignant directement sur l’écran. Le travail de l’image est chez eux à la limite de l'anthropologie et de l’absurde, et interroge notre identité sous les filtres du numérique. Boris Chouvellon propose lui des enjoliveurs en béton, criants d'inutilité, comme des artefacts archéologiques du futur, des traces trop tôt figées, ruines de matière contemporaine qui deviennent décoratives par la préciosité de la feuille d’or appliquée légèrement par endroit. Ces jeux de matières continuent avec Bianca Argimon : un objet violent - une batte - devient aussi fragile que les verres en cristal de nos grands-mères. L’artiste mystifie cet objet, déjà lourd de sens, en lui offrant une autre apparence et ainsi, une autre signification, hautement symbolique et cynique. De tels objets bruts nous amènent alors à questionner la surface murale au sens de couche superficielle, et c’est chez Shuck One, un artiste qui regarde et admire les grands maîtres de l’histoire de la peinture qu’un art longtemps décrié, celui du graffiti, s’exprime et nous permet de réfléchir sur les jeux de surface et de superficialité. Ses réalisations engagées utilisent la légèreté de la bombe aérosol pour venir caresser les toiles, les parois et les objets, et nous donner à voir un discours bien au-delà de la simple esthétique colorée et séduisante du street art.
« Le plus profond c’est la peau »
Paul Valéry disait dans L'Idée fixe (1934) : « Ce qu'il y a de plus profond en l'homme, c'est la peau. » Pour le poète, les potentiels hantent la surface des choses : les membranes, la peau, sont primordiales, elles mettent précisément en contact l’espace intérieur et l’espace extérieur. Le vivant vit à la limite de lui-même, sur sa limite, et la vie y existe de manière essentielle. Le superficiel est donc primordial. Confrontés à l'irréductibilité du vivant, bien au-delà de la seule question de l'apparence, les artistes d'aujourd'hui interrogent les conditions de visibilité et de présence de l'œuvre. Stéphane Triandé présente ici une pièce initialement prévue pour clore une résidence effectuée en 2020. A cause de la crise liée au Covid-19, l'œuvre a dû être repensée dans sa forme même, et entièrement démontée : l’artiste a alors choisi de littéralement disséquer sa pièce pour n’en montrer que des substances primaires issues de l’environnement naturel du lieu de création.
Les Dust Paintings de Sophie Kitching sont autant de poèmes dédiés à la surface des choses et aux résidus superficiels : l’artiste récupère les copeaux de matériaux trouvés dans son atelier, puis les agrège sur des feuilles de papier préalablement enduites de colle. Martin Rahin utilise a contrario une matière picturale épaisse, dont il recouvre la toile, à qui il fait subir diverses opérations : coulures, brûlures, entailles, autant de modifications de la surface qui entrent en jeu, et lui permettent d’évoquer de grands chefs-d’oeuvre classiques tels qu’un Titien ou un Tintoret. La photographie prise à l’Iphone vient insister sur l’image et le sens à lui donner, mais y-a-t-il vraiment un sens ? De l’eau bleutée dans un plexiglas parfait, de l’artiste Anne-Laure Wuillai, nous offre l’image d’une mer mise en boîte, balançant au gré des visiteurs ses reflets sur le sol, étonnamment minuscule et qui devient pourtant icône, évocation d’une immense partie de la surface de la terre, recouvrant toute matière. Enfin, Florent Testa étudie dans la nature les formes éphémères des choses et utilise les nouvelles technologies dont l’impression 3D pour explorer de multiples possibilités, cherchant à figer les surfaces et à enregistrer ces dessins passagers. Ici, la superficialité légère et créatrice prend sa source dans la recherche de formes plaisantes, étonnantes, rondes, naturelles, organiques. Elle constitue une sorte d’hommage à la beauté de l’environnement naturel et de ses multiples surfaces.
André Gide écrivait à la suite de Paul Valéry : « Dans le grand désastre du temps, c'est par la peau que les chefs-d'œuvre flottent. »
Camille Frasca et Antoine Py
'“SUPERFICIEL” GROUP SHOW
Galerie Mansart , PARIS
April 21 - June 20, 2021
5 rue Payenne, 75003 Paris
Curated by Camille Frasca & Antoine Py
With Bianca Argimon, Pierre Bendine-Boucar, Damien Caccia, Boris Chouvellon, Harald Fernagu, Pablo Grand Mourcel, Sophie Kitching, Emilie Brout & Maxime Marion, Arsene Prat, Frank Perrin, Shuck One, Martin Rahin, Mathieu Roquigny, Florent Testa, Stéphane Triandé, Anne-Laure Wuillai
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ATLAS
POP UP EXHIBITION, SOHO
January 30 - February 21, 2021
Photos by Jonathan Hökklo
About the paintings
The Invisible Green series refers to a specific tone of green invented in the Georgian/Regency era in England, which was used on gates, conservatories and trellises to give the impression they are disappearing into the surrounding vegetation. Canvases of abstract, gestural strokes evoke a tension between the seen and unseen. As with a building obscured by trees, these paintings explore the gentle but gradual melding of forms by time and human recollection, the separation of each element fading as time passes, and the landscape slowly growing into a single image.
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MULTIPLES, INC. 1965-1992
Marian Goodman GALLERY
January 12, 2021
Multiples, Inc. was an art publishing company founded in 1965 by a group of five partners, including gallerist Marian Goodman. During its existence, Multiples, Inc. published seminal editions with some of the most important artists of the 20th century over a period of almost three decades between 1966 and 1992.
The 1960s were the high times of multiples; artworks were not conceived as single objects but as objects to be published in several examples, often using new materials and contemporary manufacturing techniques. Producing artworks in editions allowed a democracy of distribution, permitting them to be offered at lower prices, in turn making current developments in the art world available to a larger audience. While many publishers emerged in the U.S. and in Europe in the 1960s, not all of these organizations remained active into the future, whereas Multiples, Inc. survived the initial impetus of the new medium and went on to increasingly produce prints in the 1970s and 1980s.
This extensively illustrated catalogue includes a new essay by Dieter Schwarz, and original texts by Harold Rosenberg and Samuel J. Wagstaff Jr. The catalogue includes a historically complete list of all the Multiples, Inc. editions, as well as many documents illustrating its wide-spanned history. It was published on the occasion of the historical exhibition at the Marian Goodman Gallery New York (12 January – 27 February 2021), which gathered for the first time a selection of over 150 editions published by Multiples, Inc. in collaboration with over 70 artists.
Edited and written by Dieter Schwarz, 2021
Published by Marian Goodman Gallery and Verlag der Buchhandlung Walther und Franz König